Communément appelée Alouette bretonne, la farlouse sera notre rime cette année.
Il ne peut en être autrement.Ce ne sera pas l’année de la loose ou de la fin du monde.
Nous avons fait le bilan de 2011, année mouvementée. Pourtant en regardant nos photos pour réaliser notre carte de voeux, on s’est rendu compte que nos moments difficiles ont été bien rythmés par de chouettes moments d’amitiés ou familiaux.
Pour ceux qui ont pourtant été très présents dans nos vies cette année et qui ne se retrouvent pas dans ces images. Ne vous vexez pas, il se peut bien que ce soit vous qu’on voit le plus régulièrement mais qu’a contrario qu’on ne vous prenne jamais en photos. Auquel cas, l’année de l’alouette sera votre année en photos pour la carte de vœux de l’an prochain.
Nous vous souhaitons une belle et heureuse année en images. Nous nous sommes faits plaisir pour faire cette carte, alors voilà ce qu’on vous souhaite pour 2012, de l’humour, beaucoup d’humour.
Nous écrivons cet article à quelques heures de notre décollage pour Genève.
Nous avons passé un moment inoubliable ce soir avec Soeur Corinne. Merci à elle pour son écoute et sa psychologie.
Voici les photos d’une randonnée au monastère de St Georges (contenant la grotte d’Elie).
A part que Sophie a failli se faire dévorer par les 3 cerbères qui gardent le site, nous avons surtout gardé de cette journée une rencontre avec Xavier G. ancien professionnel du cinéma et aussi bavard que généreux.
Les « marmottes des sables » comme dirait Flo et les âniers nous auront suivis sur toute la randonnée dans le canyon ! Avis aux amateurs, cette excursion vaut le déplacement !
Alors que nous nous retrouvons à Bethléem, ville de la nativité, deux petits rentrent dans la vie de nos amis : une petite Clotilde à Beaugency et un petit Mathieu à Mexico. Cette idée nous rend bien heureux.
La visite de la ville palestinienne est très agréable et les églises bien visibles mais leurs entrées parfois difficiles à trouver. La basilique nous plaît bien surtout le tuyau d’un palestinien : « il y a des trous dans la porte de la grotte qui vous permettent de voir le « célèbre » autel contenant l’étoile que tout le monde vient toucher.
On aura touché notre étoile en allant à Mar Saba. Magnifique abbaye au fin fond du désert. On vous évitera les scènes où on se perd au milieu des quartiers de plus en plus pauvres avec notre voiture immatriculée en Israël ou encore notre route qui finissait toujours par croiser un checkpoint israélien alors que nous souhaitions trouver un site palestinien. Nous nous sommes faits quelques copains (sic!).
Encore une belle journée qui se finit autour d’un bon repas dans la communauté de Bethléem.
Nous voici à nouveau dans Jérusalem sur la muraille cette fois-ci ainsi que dans l’église de la dormition de Marie ; le cénacle ; le tombeau de David (moment absolument sans intérêt) ; et des toits et des cafés et des thés. Une bonne journée à visionner sous vos applaudissements.
Une arrivée en voiture assez épique et un pique-nique dans un jardin à deux pas du consulat de France et nous voici fin prêts pour découvrir la vieille ville. Objectif : le saint sépulcre tout en prenant nos marques dans la ville. Évidemment, cela aurait été trop simple ! Nous avons fait 3 fois le tour de la ville avant de réussir à atteindre l’entrée principale du saint Sépulcre. Une fois dedans, nous n’avons plus notre guide oublié dans le désert et nos pérégrinations restent un peu sans réponses. Nous décidons de revenir demain mieux armés pour découvrir le tombeau du Christ et les lieux de la fin de sa vie. Nous avons quand même eu la chance de tomber par hasard sur des petites merveilles des multiples communautés présentes dans la ville, notamment copte et arménienne.
Samedi après-midi, nous revoilà avec Johannes qui connaît la ville comme sa poche. Notre objectif reste le même avec en plus l’idée de passer la soirée dans la ville.
Beaucoup d’émotions : le mont des oliviers, le Golgotha, l’accès au tombeau du Christ avec aucun autre touriste, la Croix.
Beaucoup moins d’émotions : le mur des lamentations (franchement, je n’ai toujours pas compris), le trafic automobile, la vue du désert sur la colline (et oui on avait vu Le Néguev, on devient difficile).
Des sensations fortes : monter avec une vieille voiture une pente à 60° avec des voitures dans les deux sens ; traverser la porte de Sion (porte en L), être quasiment les derniers dans le souk, fumer un narguilé dans le souk alors qu’il n’y a plus personne dans la ville, le resto.
Bref, un énooooorme merci à Johannes qui nous a permis de vivre la ville et de nous en imprégner.
La basilique nous plaît bien surtout le tuyau d’un palestinien : « il y a des trous dans la porte de la grotte qui vous permettent de voir le « célèbre » autel contenant l’étoile que tout le monde vient toucher.