Jour 4 : Nasca

Après des négociations difficiles, nous sommes partis à 5 avec Marco, notre guide qui parle un très bon français et qui a une connaissance inestimable de l’histoire et de l’histoire de l’art péruvien.
Nous aurons vu tout ce que nous voulions voir et plus encore : la magie des lignes de Nasca et des dessins gravés dans le désert visibles uniquement de haut, voire du ciel (à qui sont destinés ces dessins ? bonne question, à notre avis pour leurs dieux) ; l’énergie ressentie en haut des monts dont la ligne recoupe le coucher du soleil lors du solstice d’été ; les tombes aux momies des populations des montagnes et de la vallée retrouvées en parfait état avec des dreads à faire pâlir les rastas de Jamaïque ; les aqueducs qui nous ont le plus impressionnés par leur taille et les connaissances hydrauliques des ancêtres des péruviens ;  les hauteurs de chemin de l’inca pour voir un dernier signe circulaire visible du haut de la montagne ; pour finir sur le temple inca pour voir le soleil se coucher et l’apparition de Vénus puis de Jupiter. Nous n’aurons pas fait le vol au dessus des signes de Nasca mais du haut des miradors et montagnes, nous aurons vu « la famille de Palpa » ; « la main » ; « la bobine de fil » ; « l’arbre » ; « le lézard à moitié »
Nous aurons également notre première expérience avec les feuilles de coca et le meilleur pisco sour (le cocktail local)  jusqu’ici.
Nous prendrons le bus de nuit pour Arequipa. En l’attendant, nous retomberons sur Corinne et Thomas qui n’ont pas une très grande forme.